De Londres
Wembley est aux footballeurs ce que Lourdes est aux catholiques: un lieu de pèlerinage. Ce match contre l’Angleterre dans ce stade mythique tombait à point nommé pour les Suisses. Ils avaient ces deux défaites d’affilée guère reluisantes enregistrées contre le Nigéria et les Etats-Unis (1-0 à chaque fois) à se faire pardonner. C’est raté. En partie du moins.
Durant les 40 premières minutes, la formation de Köbi Kuhn a séduit. A l’exception notoire de Blaise Nkufo, terriblement statique aux avant-postes. Elle s’est créé quelques occasions de but et est même parvenue à faire gronder une bonne partie d’un public britannique guère enchanté par la prestation de ses favoris.
Benaglio brillant
La défense, même privée de Ludovic Magnin, Patrick Müller et, dans une moindre mesure, Philipp Degen et Johan Djourou, a merveilleusement tenu le choc contre cette Angleterre que l’on avait déjà connue plus incisive. Le mérite en revient...
Wembley est aux footballeurs ce que Lourdes est aux catholiques: un lieu de pèlerinage. Ce match contre l’Angleterre dans ce stade mythique tombait à point nommé pour les Suisses. Ils avaient ces deux défaites d’affilée guère reluisantes enregistrées contre le Nigéria et les Etats-Unis (1-0 à chaque fois) à se faire pardonner. C’est raté. En partie du moins.
Durant les 40 premières minutes, la formation de Köbi Kuhn a séduit. A l’exception notoire de Blaise Nkufo, terriblement statique aux avant-postes. Elle s’est créé quelques occasions de but et est même parvenue à faire gronder une bonne partie d’un public britannique guère enchanté par la prestation de ses favoris.
Benaglio brillant
La défense, même privée de Ludovic Magnin, Patrick Müller et, dans une moindre mesure, Philipp Degen et Johan Djourou, a merveilleusement tenu le choc contre cette Angleterre que l’on avait déjà connue plus incisive. Le mérite en revient...