Foot: la fidélité est aussi conditionnée par les options restreintes
La statistique, analysée par «Le Matin», est intéressante. Dix-sept joueurs suisses, sur les vingt-trois convoqués en Russie, étaient déjà dans le groupe en France, lors de l’Euro 2016. En Europe, c’est mieux que l’Allemagne (15), le Portugal (13), l’Angleterre, la Pologne et l’Espagne (11). Il en ressort, nous dit-on, que Vladimir Petkovic est un coach fidèle à son groupe et à ses joueurs. Peu enclin, autrement écrit, au changement. Certes. Cette «stat», c’est surtout le constat que la Suisse et ses quelque 270 000 licenciés n’a pas tant d’options possibles au moment d’établir une liste de vingt-trois hommes étant entendu que le réservoir de joueurs, à ce niveau, est logiquement limité.
Quatre Coupe du monde de rang, ça en jette
Il y a une autre statistique qui dit bien la valeur actuelle de notre football. La Suisse disputera sa quatrième...