Le parcours, «classique» selon le mot de son directeur Christian Prudhomme qui l'a présenté hier à Paris, respecte la légende. Dans le Nord, avec le retour des secteurs pavés trois jours après le grand départ du port néerlandais de Rotterdam le 3 juillet. Dans les Pyrénées surtout, sillonnées quatre journées durant la dernière semaine avant l'arrivée parisienne sur les Champs-Elysées le 25 juillet.
«Le Tour, dès qu'il le peut, doit s'inscrire dans les régions, dans les terroirs, dans l'histoire», a insisté Christian Prudhomme qui a tenu symboliquement à ce que la course emprunte aussi bien les nouvelles montées (Pailhères, Ax-3 Domaines, Balès) abordées seulement au XXIe siècle que les quatre cols légendaires (Peyresourde, Aspin, Tourmalet, Aubisque) franchis par les pionniers de 1920.
Jour de stress
Lance Armstrong, présent dans la salle, a pu aussi visionner l'une de ses performances les plus mémorables quand il avait traversé un champ, en 2003,...