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Le Palp Festival gagne le pari d'une édition à haut risque

La manifestation a été l'une des seules à avoir pu se maintenir sur l'été et à avoir pu s'adapter aux normes sanitaires dans des temps très courts pour maintenir ses concerts. Un dixième anniversaire éreintant mais riche en enseignements.

24 oct. 2020, 12:00
Pour la Mountain Session de la cabane des Becs de Bosson, Sophie Hunger s'est produite à 3000 mètres d'altitude.

La décision a été prise avant même l’annonce des mesures sanitaires prises par le Conseil d’Etat valaisan mercredi passé. La dixième édition du Palp Festival aurait dû se conclure le 14 novembre par le très attendu Bal masqué et ce week-end, les doux dingues de l’organisation avaient prévu de transformer la Distillerie Morand en forêt indoor pour l’événement Jardin secret. «Avec la hausse des cas de Covid-19, nous avons logiquement choisi de renoncer à ces soirées, qui devaient se dérouler à l’intérieur. L’édition s’est achevée plus tôt que prévu, mais c’était de toute façon préférable de ne pas prendre de risque. Nous n’avons eu aucune contamination connue ou de cluster durant l’été, et c’est une grande satisfaction», souligne Sébastien Olesen.

14 000 personnes, aucune contamination

Le risque était il est vrai considérable. Et le directeur du Palp le dit, «c’était éreintant pour toute l’équipe. Je ne sais pas si on...

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