Une guitare, une basse, une batterie et une voix... C'est la formule du rock. Celle qui habite les grands disques fondateurs, de Chuck Berry, de Jimi Hendrix, de Led Zeppelin... C'est aussi celle de la résurrection, aussi vitale qu'artistique, de Johnny Hallyday. «Jamais Seul», comme pour dire, crier, hurler que même perdu dans les limbes, même égaré dans les brumes de l'alcool, même au fond de la plus noire dépression, ses héros ne l'ont jamais quitté. Ses héros et ses proches, Laetitia, Jade, Joy... Un disque-hommage pour un retour aux bases, aux fondamentaux du genre.
D'où reviens-tu Johnny?
A l'été 2009, Johnny a connu l'exil cotonneux du coma, provoqué par ses médecins californiens suite à des complications postopératoires qui ont bien failli le tuer. Le coma, «comme une île qu'on voit depuis un bateau qui s'éloigne, puis un trou noir», raconte-t-il depuis, à longueur d'interviews.
Il en revient aujourd'hui...