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Histoire d'eaux

L'or bleu se porte bien en Valais. Quantité et qualité sont au rendez-vous. Reste qu'il va falloir investir des sommes

18 févr. 2010, 05:01

Ouvrir le robinet, remplir son verre d'eau fraîche, boire d'un trait pour étancher sa soif... Une suite de gestes d'une banalité franche: ici, tout un chacun peut s'y livrer les yeux fermés, sans y penser, sans arrière-pensée. Et pourtant. Il y a peu, un groupe de travail de l'ONU relevait que plus de 100 millions d'Européens n'ont toujours pas d'eau potable à domicile. Ce qui provoque, toujours en Europe, le décès de plus de trente enfants par jour (chiffre OMS 2006), pour cause de diarrhée! En Valais, ce sont les communes qui sont en charge de la disponibilité comme de la propreté de l'or bleu. Une tâche où la routine n'a pas sa place et qui nécessitera des investissements se chiffrant en dizaines de millions pour se maintenir à niveau. Le point avec Célestin Thétaz, chimiste cantonal, à ce titre patron du laboratoire chargé de traquer les polluants pouvant contaminer...

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