Philippe Lamon, un auteur valaisan qui promet, et qui sort cet automne son deuxième roman. On y sent une verve narrative très vive, une connexion au monde contemporain, une envie de dire et de partager les choses avec un humour qui décape. Interview.
Comment l’écriture vous est-elle tombée dessus?
Assez naturellement. J’ai toujours beaucoup lu dès mon enfance. Et je suis d’une nature rêveuse. J’avais donc quelques prédispositions. Durant l’adolescence, je me suis mis à écrire quelques petites histoires. Puis, à 18 ans, j’ai remporté un prix pour une nouvelle remis par l’Association valaisanne des écrivains. Cela m’a encouragé à poursuivre.
Que représente-t-elle pour vous? Un engagement, un divertissement, une respiration profonde, un questionnement?
Un espace infini de liberté. Il n’y a rien de plus grisant que de créer un univers et d’inventer des personnages. C’est vite devenu une passion, un élément essentiel à mon équilibre. J’ai une approche ludique...