Nombre de banques privées se trouvent menacées dans leur existence avec la fin du secret bancaire pour les clients d'importants marchés étrangers et les mesures mises en oeuvre après la crise financière. Toutefois, une étude encourage les instituts de gestion de fortune à saisir les opportunités que leur ouvre la réglementation internationale.
Le profond processus de transformation du secteur financier n'est pour l'heure achevé qu'aux deux tiers, écrit cependant hier KPMG dans son étude "The Future of Swiss Private Banking - Turning Regulation into Value", réalisée avec l'Université de Saint-Gall. Dans ce contexte, les revenus se sont taris et des établissements ont déjà disparu.
"Big Data"
Ces prochaines années, entre 30 et 40% des banques privées helvétiques devraient cesser leur activité, a estimé à Zurich Philipp Rickert, membre de la direction de KPMG. Ces instituts ne doivent dès lors plus perdre de temps et saisir les chances qu'offre une réglementation...