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La Matinale
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du mercredi 24 août
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| | | Nos prisons: ni l’enfer ni l’hôtelLancé après trois tragiques suicides survenus dans les prisons valaisannes l’an dernier, une expertise n’a pas décelé de lacune majeure dans nos geôles. Toutefois, elle recommande toute une série d’améliorations des conditions de détention. Cet audit a l’avantage de le dire clairement: non, en Valais les prisons ne sont pas pires qu’ailleurs. Cependant, oui, nos geôles peuvent faire bien mieux pour tenter de limiter au minimum les tentatives de suicide, même si souvent celles-ci restent imprévisibles, comme le disait récemment au «Nouvelliste» la cheffe de la médecine pénitentiaire valaisanne. Etre enfermé 23 heures sur 24 et 7 jours sur 7 dans sa cellule, avec une heure de promenade quotidienne. Avec des activités réduites au minimum. C’est souvent cela la prison préventive et son régime souvent plus difficile à supporter qu’une exécution de peine. Surtout si cette période préventive est plus longue en Valais qu’ailleurs, comme l’a démontré notre enquête sur le sujet. Or, une fois la sanction tombée, le détenu a droit à toute une série d’aménagements et de travaux qui non seulement rendent son séjour derrière les barreaux quelque peu supportable et moins monotone, mais le préparent aussi à sa sortie. Sanction, protection de la population et réinsertion sont les raisons d’être de la prison. Sans oublier que, par définition, une prison ne doit pas offrir de conditions de détention trop agréables aux personnes condamnées, sinon à quoi bon. Ce qui n’est, de loin, pas encore le cas des gens placés en préventive. Pour nous contacter, vous pouvez écrire à redaction@lenouvelliste.ch |
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Lancée après trois suicides dans les prisons valaisannes l’an dernier, une expertise ne révèle pas de lacune majeure dans nos geôles. Toutefois, elle recommande toute une série d’améliorations.
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