Le masque ou le test, il faut choisir
Pour la deuxième fois en l’espace de douze mois, le sport populaire, celui des amateurs et des adolescents est quasiment à l’arrêt. Le hockey, par exemple, a mis ses championnats entre parenthèses jusqu’au 27 janvier. Rien ne dit qu’ils reprendront. Le basket devrait suivre le mouvement. D’autres disciplines tentent de s’adapter aux nouvelles directives, cette règle des 2G+ qui exclut pratiquement toute pratique sportive.
Cette situation engendre des scènes cocasses, à l’instar des tennismen qui doivent porter un masque alors qu’ils ne sont que deux sur une surface de 300 m2 et des escrimeurs qui, sous leur masque métallique, doivent en porter un autre, en papier ou en tissu.
Les uns crient à l’aberration, dénonçant des incohérences, d’autres s’irritent et tous, à la fin, sont contraints de trouver des solutions et, surtout, craignent de perdre de nouveaux membres.
Dans les EMS, la règle du pass sanitaire continue de s'appliquer et nos aînés devraient donc pouvoir voir leur famille durant les fêtes.
Du côté des piscines, Brigerbad a tout bonnement décidé de fermer ses portes, alors qu'Aquaparc ou Ovronnaz s'attendent à un recul de leur fréquentation.
Enfin, pour les fanfares et les choeurs de notre canton, la règle des 2G+ est un véritable coup dur.
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