«L’Europe qui protège.» La devise qu’a choisie l’Autriche pour sa présidence semestrielle de l’Union européenne, qui a débuté le 1er juillet, en dit long sur ses intentions, avant tout axées sur le renforcement des frontières extérieures de l’Union européenne, afin de lutter contre l’immigration illégale. Mais les petits arrangements interallemands menacent ses ambitions.
Le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a présenté, hier, devant les eurodéputés, le programme européen de son gouvernement de coalition entre les conservateurs de l’ÖVP et les extrémistes de droite du FPÖ.
«Fossés creusés»
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