Ursula von der Leyen, l’Allemande que les leaders des Vingt-Huit souhaitent installer à la présidence de la Commission européenne, le 1er novembre, a lancé une vaste offensive de charme au Parlement européen, qui devra l’adouber, en principe, mardi. La ministre allemande de la Défense, une démocrate-chrétienne, a multiplié, hier, les rendez-vous avec les principaux groupes politiques représentés à Strasbourg, en vue de les amadouer. Son choix, en effet, n’est pas apprécié par tout le monde.
Les leaders des Vingt-Huit l’ont tirée de leur chapeau, dans le cadre d’un vaste marchandage. L...