Complaisantes, ambiguës, propagandistes et obséquieuses. Accusées d’accorder trop de place dans leurs émissions à des journalistes russes proches de Vladimir Poutine et à des universitaires prorusses sans contradicteurs, les chaînes de télévision italiennes publiques et privées sont sur la sellette. Et une question est désormais sur toutes les lèvres: peut-on tout laisser dire au nom de la liberté d’expression?
Après les propos tenus en direct dimanche dernier par le chef de la diplomatie ...