«La seule raison de ma présence ici c’est pour aider mon pays», dit à l’AFP Anastasia Mintchoukova, 20 ans, volontaire pour ce cursus de trois semaines avec d’autres Ukrainiennes arrivées ces derniers jours dans l’ancienne province serbe.
Le Kosovo a de l’expérience et de l’expertise en la matière. Après la guerre entre forces serbes et rebelles albanais indépendantistes qui fit 13 000 morts à la fin des années 1990, le territoire s’est retrouvé avec 4 500 champs de mines à désamorcer, selon les estimations américaines de l’époque.
La plupart des e...