Même sous la présidence de Donald Trump, les affinités personnelles ne suffisent pas à faire une politique. Si Viktor Orban (photo Keystone) a eu hier l’honneur d’un entretien dans le Bureau ovale, il l’a obtenu de haute lutte. Et les compliments associés à la circonstance ne sauraient masquer les tensions entre deux hommes que tout aurait dû rapprocher.
Le premier ministre hongrois a été le seul dirigeant européen à soutenir la candidature de Donald Trump à l’été 2016. Il est pourtant le dernier représentant d’Europe centrale reçu à la Maison-Blanche. Depuis, sa promotion d’une «démocratie ill...