Même la pluie et l’orage n’ont pas empêché Donald Trump d’avoir «son» 4 Juillet. Comme il le voulait, la traditionnelle Fête populaire de l’indépendance s’est enrichie, jeudi soir, d’un imposant volet militaire et, accessoirement, d’une dimension politique qui ne lui aura pas nui à seize mois de la présidentielle.
Le chef de la Maison-Blanche n’a laissé à personne le soin de présider cette célébration patriotique, qu’il appelait de ses vœux depuis deux ans, après qu’Emmanuel Macron l’avait invité au défilé du 14 juillet 2017, à Paris. Derrière une vitre blindée souillée par la pluie, Trump a an...