L'institution monétaire de Francfort n'a pas non plus touché à son taux de prêt marginal, abaissé à 0,3% en septembre, ni à son taux de dépôt, porté en territoire négatif pour la première fois de son histoire en juin et qui stationne désormais à -0,2%.
Les observateurs attendent avec impatience la conférence de presse du président de la BCE, Mario Draghi. Il risque d'être soumis à un feu nourri de questions concernant la Grèce, toujours dans l'attente d'une bouffée d'air pour faire face à ses besoins financiers immédiats.