Ils ont une valeur patrimoniale de premier rang. «C’est du très haut de gamme»: les archéologues, historiens de l’art, conservateurs et spécialistes en droit de l’art sont unanimes.
Ce gratin d’experts, représentants de l’Unesco, du consortium des musées, mais aussi au service de Fedpol, sont venus hier au Musée d’art et d’histoire (MAH) de Genève, aux côtés de nombreux journalistes, pour admirer des statuettes, stèles, ou autres reliefs de tombeaux syriens, yéménites et libyens. «Il ne s’agit pas d’une exposition, dont le musée tirerait profit, mais de présenter ces splendides objets, qui ne d...