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Négociations pour protéger la haute mer

Un traité est discuté à l’ONU pour la conservation des océans au-delà des zones contrôlées par les pays.

03 avr. 2019, 00:01
epa01776850 Undated handout picture made available by the Belgian Government Crisis Center, shows the Belgian Pompei dredger of Jan De Nul Group which Somali pirates have been released months after it was captured with its crew, the Belgian prime minister has said on 28 June 2009. No details were given about the circumstances of the ship's release. The MV Pompei was hijacked on 18 April north of the Seychelles. The MV Pompei's crew include a Dutch captain, two Belgians, three Filipinos and four Croats.  EPA/BELGIAN GOVERNMENT CRISIS CENTER BELGIUM OUT . HOCHSEE SOMALIA PIRATERIE POMPEI

Deuxième round. Les négociations sur la haute mer ont repris le 25 mars, à New York, sous l’égide de l’ONU et dureront jusqu’au 5 avril. La session inaugurale s’était tenue il y a six mois, au même endroit. Désormais, les négociateurs disposent d’un premier texte de travail. Une étape importante a donc été franchie, mais beaucoup reste à faire.

L’objectif de cette conférence intergouvernementale est d’élaborer les bases d’un traité pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine. L’enjeu est important. Pour l’heure, la haute mer n’est régie que par un seul texte, la convention de l’ONU sur le droit de la mer (CNUDM). Non seulement ce texte a été signé il y a trente ans, à une époque où la connaissance sur le fonctionnement des océans était encore balbutiante, mais il n’abordait la question de la biodiversité marine que dans les zones relevant des juridictions nationales....

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