«Je comprends parfaitement que le patronat suisse utilise tous les arguments» dont «la peur et l'insulte, contre les travailleurs», a commenté l'eurodéputé ce lundi sur Europe 1. Il a souligné la situation particulière de la Suisse, «coffre-fort de tous les voyous de la terre».
«Je les plains de tout mon coeur de se laisser intimider par un patronat qui les convainc de ne pas prendre de vacances», a insisté le coprésident du Parti de Gauche.
«Qu'est ce que les vacances ? Une part de temps de travail pris dans la répartition entre capital et travail au service des travailleurs». «Je ne suis pas étonné que les patrons suisses n'aiment pas ça», a-t-il observé.