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Maliens et Français frappés par Daech

L’Etat islamique a revendiqué la mort, samedi, d’un soldat français après l’attaque ayant tué vendredi 49 soldats maliens.

04 nov. 2019, 00:01
French President Emmanuel Macron, right, takes to Army Chief of Staff, General Pierre de Villiersflies prior to the take off of a military helicopter as they visit the troops of Operation Barkhane, France's largest overseas military operation, in Gao, northern Mali, Friday, May 19, 2017. On his first official trip outside Europe, new French President Emmanuel Macron is highlighting his determination to crush extremism with a visit to French-led military forces combating jihadist groups in West Africa. (Christophe Petit Tesson, Pool via AP) MALI FRANCE PRESIDENT

Frappé en pleine tête en Syrie la semaine dernière, avec la perte de son chef Abou Bakr al-Baghdadi, l’organisation «Etat islamique» a démontré, en un week-end, qu’elle pouvait encore faire parler d’elle. Les djihadistes ont revendiqué, samedi, la mort du militaire français Ronan Pointeau, victime d’un engin explosif improvisé qui a visé son véhicule blindé léger près de Ménaka, au Mali.

Engagé, depuis le mois d’octobre dans l’opération «Barkhane» au Sahel, le militaire de 24 ans est décédé des suites de ses blessures. Il était embarqué au sein d’un détachement du «groupement tactique désert blindé», chargé d’une escorte de convoi: les routes maliennes sont toutes potentiellement piégées par les groupes terroristes disséminés dans la bande sahélo-saharienne. Le danger est permanent.

Mort de 49 soldats maliens

Dans une pure logique d’opportunité, les djihadistes se sont attribué «l’attaque». A Paris, l’état-major des armées n’a pas commenté la revendication, pour ne pas...

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