Le projet d'une conférence de paix internationale sur la Syrie à Genève est dans l'impasse. L'opposition syrienne exige toujours comme préalable le départ du président Bachar al Assad.
Réunis, hier, à Londres, les "Amis de la Syrie" (Allemagne, Arabie saoudite, Egypte, Emirats arabes unis, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Jordanie, Qatar et Turquie) ont pourtant pressé l'opposition, qu'ils soutiennent, de participer à de futures négociations de paix en Suisse.
"La conférence de Genève ne peut réussir et nous n'y participerons pas si elle permet à Assad de gagner encore du temps p...