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Les arbitres suisses manquent de temps

Professionnaliser l’arbitrage dans le football helvétique permettrait aux directeurs de jeu de se focaliser sur leur préparation physique et tactique. Ils bénéficieraient aussi de temps supplémentaire pour la récupération.

24 sept. 2015, 06:53
Schiedsrichter Nikolaj Haenni, aufgenommen im Fussball Super League Spiel zwischen dem FC Vaduz und dem FC Sion, am Sonntag, 9. August 2015, im Rheinpark Stadion in Vaduz. (KEYSTONE/Gian Ehrenzeller)r LIECHTENSTEIN FUSSBALL VADUZ SION

Cinq ans que les arbitres suisses n’égalent plus leurs homologues anglais, espagnols, suédois et autres slovènes! Toutes ces nations comptent au moins un de leur représentant parmi le groupe élite de l’UEFA qui réunit les 22 Européens les plus performants. Pas de trace non plus d’un arbitre au passeport rouge à croix blanche dans la catégorie 1, laquelle suit le groupe élite et qui compte 65 membres. Autre indice de la mauvaise période que traverse l’arbitrage suisse, l’absence d’un directeur de jeu lors du Mondial en 2014. Une première depuis… 1930. La désillusion ne s’arrête pas là. Aucun Helvète ne sifflera lors de l’Euro qui se disputera en France l’été prochain. «Soyons honnêtes: il y a actuellement un trou. Nous devons lutter pour retrouver notre niveau», reconnaît Patrick Graf, responsable du département des arbitres de l’Association suisse de football (ASF) depuis le mois d’avril dernier. En 2009 pourtant, le Tessinois...

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