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Le décret touche aussi les hautes écoles

Gros soucis de mobilité pour les docteurs et étudiants des écoles polytechniques de Lausanne et Zurich suite à la décision de Trump.

01 févr. 2017, 23:41
/ Màj. le 02 févr. 2017 à 00:01

Nombreux à être inscrits dans les universités et hautes écoles de Suisse, les étudiants et diplômés des sept nationalités visées par le décret d’interdiction d’entrée aux Etats-Unis doivent trouver un plan «B» s’ils prévoyaient d’y partir. C’est la recommandation donnée aux ressortissants inscrits à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) originaires d’Iran, d’Irak, de Somalie, du Soudan, du Yémen, de Syrie et de Libye.

Elle fait suite au refus essuyé par une docteur en génétique iranienne de l’EPFL, Samira Asgari, empêchée par deux fois d’embarquer pour Boston, samedi à l’aéroport de Francfort et encore mardi au départ de Zurich, rapporte la RTS. Au bénéfice d’une bourse du Fonds national de la recherche scientifique (FNS), Samira Asgari dispose d’un visa en règle. Mais elle reste persona non grata à bord d’un vol Swiss qui ne veut pas voir sa passagère refoulée à son arrivée à Boston, alors que l’Etat de destination,...

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