Le silence observé par les autorités israéliennes en dit long sur leur consternation. Vingt-quatre heures après les révélations du "Washington Post", qui accuse la Turquie d'avoir "vendu" au régime iranien une dizaine d'agents opérant pour le compte du Mossad au début 2012, aucune réaction officielle n'avait encore été formulée, hier soir, par le gouvernement de Benyamin Netanyahou. Dans son entourage, on se contentait d'observer que l'auteur du scoop, David Ignatius, "est réputé pour son sérieux et son excellente connaissance du Proche-Orient". Une manière de prêter du crédit à des alléga...
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La Turquie accusée d'avoir livré des espions du Mossad

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