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La métallurgie allemande valide la semaine de 28 heures

Les négociations syndicales se sont achevées sur une hausse salariale et une flexibilisation du temps de travail: entre moins de 30 et 40 heures par semaine.

07 févr. 2018, 00:01
31.01.2018, Hamburg: Gewerkschafter der IG Metall sitzen vor dem Werk des Unternehmens Still an einer Feuertonne. Im Tarifkonflikt der Metall- und Elektroindustrie haben Metallarbeiter in mehreren Bundesländern mit ganztägigen Warnstreiks begonnen. Foto: Daniel Reinhardt/dpa +++ dpa-Bildfunk +++ (KEYSTONE/DPA/Daniel Reinhardt) DEUTSCHLAND WARNSTREIKS IN DER METALL- UND ELEKTROINDUSTRIE

Annoncé un peu rapidement comme historique, le bras de fer engagé entre les partenaires sociaux de la métallurgie allemande s’est achevé dans la nuit de lundi à mardi le plus traditionnellement possible.

C’est-à-dire par un compromis, trouvé juste avant l’appel à la grève générale, qui reste une rareté en Allemagne.

En tout, le syndicat IG Metall aura quand même mobilisé plus de 900 000 salariés dans la première phase de négociations, et 550 000 dans la dernière semaine, période pendant laquelle l’IG Metall a testé pour la première fois des débrayages longs de 24 heures, bien plus pénalisants pour les entreprises.

Baisse du temps de travail

La sixième rencontre avec les employeurs a finalement mené à une hausse des salaires de 4,3% (au 1er avril), Cependant, ce qui constitue la réelle nouveauté de l’accord présenté hier matin à Stuttgart, est sans nul doute la forte dose de flexibilisation du...

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