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La journée des arbitres n'était pas la sienne

L'arbitre suisse a fait connaissance avec la loi du milieu. La FIFA l'a renvoyé à la maison, après un seul match. Urs Meier, numéro un du sifflet helvétique, parlait d'un scandale avant l'heure.

30 juin 2010, 05:01

PRETORIA

On a beau être considéré, en Suisse, comme «le meilleur arbitre du monde», cela ne vous assure pas de privilège dans une Coupe du monde de football. Massimo Busacca a pris une décision qui a fait tonner les vuvuzelas lors du match Afrique du Sud - Uruguay. Depuis, il attendait la suite... et ne voyait rien venir. Urs Meier, notre ex-numéro un du sifflet, avait promis de lui donner «un coup de main». Suffisant? Non, le couperet est tombé, hier en fin de journée.

Journée des arbitres, hier matin à Pretoria. On ne savait encore rien. C'était l'attente pour Massimo Busacca. Et elle durait. Dirigerait-il un quart de finale? Ou mieux? L'homme a été sous les feux de la critique de Carlos Parreira, l'entraîneur brésilien des Bafanas-Bafanas après le match Afrique du Sud - Uruguay, lorsqu'il a sifflé un penalty pour la Celeste, assorti d'un carton rouge au gardien...

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