Le président sortant de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, l’a souligné, hier, devant le Parlement européen, où il a livré son testament politique: l’impossibilité de conclure un accord-cadre institutionnel avec la Suisse, en dépit «d’efforts nombreux et intenses», figure parmi les trois grandes «déceptions» qu’il a connues à Bruxelles, ces cinq dernières années.
Le Luxembourgeois cédera, le 1er décembre, la présidence de l’exécutif communautaire à l’Allemande Ursula von der Leyen. La voix étreinte par l’émotion, il a égrené ce qu’il considère comme les «réussites» de sa C...