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Intrigues politiques à Bruxelles

01 juil. 2019, 00:01
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Les leaders des Vingt-Huit ont repris, hier soir, leur grand marchandage sur les nominations à plusieurs postes clés de l’Union européenne. Un scénario semblait avoir été bien réglé, avant d’être ouvertement battu en brèche par la plupart des chefs de gouvernement conservateurs et les quatre pays du groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, République tchèque et Slovaquie): placer le social-démocrate néerlandais Frans Timmermans (photo Keystone), actuel premier vice-président de la Commission européenne, à la tête de l’exécutif communautaire.

Le choix du nouveau président de la Commission est central, dans le jeu de chaises musicales que les Vingt-Huit ont relancé, après l’échec de leur sommet des 20 et 21 juin. C’est de lui que dépendront quatre autres nominations, selon certains critères (équilibre politique et géographique, répartition entre petits et grands pays, parité entre hommes et femmes): ceux du président du Conseil européen, du chef de la diplomatie européenne, du président du Parlement...

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