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France : Quand Sarkozy interprète les textes sacrés

Il n'y a pas un mot d'appel à la violence dans la Torah, la Bible et le Coran. C'est le chef de l'État qui l'affirme. « Dieu et Sarkozy »

27 févr. 2008, 15:43
Après ses déclarations controversées de Riyad (« Dieu est dans le coeur de chaque homme »), de Saint-Jean-de-Latran, à Rome, autour de la « laïcité positive » et de la place éminente des religions dans la société, Nicolas Sarkozy persiste et signe dans un entretien avec des lecteurs du Parisien.

Il affirme, explicitant sa pensée sur les religions, que « tout doit être fait pour éviter la guerre des religions entre l'islam et l'Occident ». Le chef de l'État s'appuie, pour le dire, sur des interprétations pour le moins sujettes à caution. Et d'autant plus surprenantes que l'entretien en question a bien été relu par l'intéressé avant publication.

Que dit Nicolas Sarkozy ? Qu'il « n'y a pas un mot de la Torah, pas un mot de la Bible, pas un mot du Coran qui prône la violence, la haine et l'extrémisme ». De quoi, effectivement, faire bondir tous ceux...
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