Charlie, il y a des prénoms totems propres à fédérer une nation en pleurs. Il y a trois ans, ce funeste 7 janvier 2015, l’attaque terroriste des frères Kouachi a décimé la rédaction de «Charlie Hebdo» sans parvenir à faire taire le journal satirique.
Et, depuis, il est devenu malgré lui le symbole de la liberté d’expression. Un lourd héritage que les journalistes et dessinateurs assument chaque semaine, poussant le curseur le plus loin possible. Que cela plaise ou non.
Entre les polémiques autour des dessins, comme celui de Tariq Ramadan en novembre, et les prises de position...