Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Face aux réfugiés, l'Union hésite, mais les opinions évoluent

Les pays d'Europe restent divisés entre fermeté et accueil.

08 sept. 2015, 17:04
data_art_3360378.jpg

L'Union européenne (UE) reste plus que jamais partagée entre solidarité et fermeté face à la crise migratoire désormais symbolisée par la photo du corps d'un petit Syrien sur une plage turque.

Cette photo d'Aylan Kurdi, trois ans, gisant inanimé sur une plage de Bodrum, en Turquie, continuait hier de soulever émotion et colère (voir ci-dessous).

Cameron ému

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé les pays européens d'avoir transformé la Méditerranée en "un cimetière de migrants".

A Rome, le chef du gouvernement Matteo Renzi estimait que "l'Europe ne peut pas seulement s'émouvoir, elle doit aussi se bouger" face à des images aussi terribles. Même David Cameron, critiqué pour son manque d'implication dans la crise des migrants, s'est dit "profondément ému".

Le premier ministre britannique s'est engagé à prendre "ses responsabilités morales". Mais lors d'un discours devant les ambassadeurs de l'UE, le président du Conseil européen Donald Tusk s'est inquiété...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias