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Espagne: crise politique

Les socialistes n’ayant pu trouver d’accord avec Podemos, le Parlement a deux mois pour éviter des législatives anticipées.

26 juil. 2019, 00:01
epa07735447 Socialist Party's candidate, Pedro Sanchez, reacts in the Chamber after the unsuccessful first round vote of the investiture debate held at the Parliament's Lower Chamber, in Madrid, Spain, 23 July 2019. Sanchez failed to obtain the needed absolute majority with a result of 170 'no' against 124 'yes' and 52 'abstentions' votes. The second round of the voting, in which Sanchez only would require a simple majority to be confirmed as Prime Minister, will be held on the upcoming 25 July.  EPA/EMILIO NARANJO SPAIN INVESTITURE DEBATE

Par 124 votes oui, 155 non, 67 abstentions et quatre votes non émis, Pedro Sanchez a perdu ce jeudi le second tour de son investiture à la tête de l’exécutif. Sa formation, le Parti socialiste (PSOE) n’a pas pu, su ou voulu arriver à un accord avec Podemos (gauche radicale), seul grand parti qui avait accepté de négocier son soutien en contre un gouvernement de coalition.

Les tractations, lancées contre la montre, vendredi dernier – plus de 80 jours après les élections législatives – se sont poursuivies jusque dans l’Hémicycle.

Un ultime coup

Alors que chaque formation avait émis, en vain, une dernière offre de répartition des ministères, le chef de file de Podemos a tenté un ultime coup, depuis la tribune: «Donnez-nous les compétences en matière de mesures de retour à l’emploi», a proposé Pablo Iglesias. «Si vous nous les donnez, nous renonçons au ministère du Travail. Il...

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