«Don’t be evil»: ne soyez pas malveillants. Il n’y a plus qu’à espérer que la devise de Google reste d’actualité au sein d’Alphabet, le mastodonte propriétaire du premier moteur de recherche.
Car des chercheurs américains se sont livrés à une série d’expérience visant à manipuler les résultats des moteurs de recherche sur internet pour tenter d’influencer le comportement d’un groupe de votants lors d’une élection démocratique. Et ça a marché.
Leurs résultats ont été publiés récemment dans une revue scientifique américaine, Pnas (Proceedings of the National Academy of Sciences).
Robert Epstein et ...