La situation est devenue encore plus confuse dimanche en Algérie autour de la présidentielle prévue le 4 juillet, un scrutin catégoriquement rejeté par le mouvement de contestation et dont la tenue apparaît plus incertaine.
A l’expiration du délai légal, samedi à minuit, le Conseil constitutionnel a annoncé dans un communiqué avoir enregistré le dépôt de deux dossiers auprès de son secrétariat général: ceux d’Abdelhakim Hamadi et Hamid Touahri.
Mais les candidatures de ces deux inconnus ont de maigres chances d’être validées, car elles vont se heurter aux conditions rédhibitoires fixée...