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Chercheurs dans le bleu

10 nov. 2015, 23:20 / Màj. le 11 nov. 2015 à 00:01
Workboats operate near the Transocean Development Drilling Rig II at the site of the Deepwater Horizon incident in the Gulf of Mexico Friday, July 16, 2010. The wellhead has been capped and BP is continuing to test the integrity of the well before resuming production. (AP Photo/Dave Martin) Gulf Oil Spill

A la prochaine marée noire, l’urgence sera peut-être de ne rien faire. C’est ce que suggère une étude de l’Université de Géorgie concernant le désastre de Deepwater Horizon.

La chimie au secours

En avril 2010, la plateforme exploitée par le pétrolier BP, située au large de la Louisiane, explose, faisant onze morts et 17 blessés. Il s’ensuit la plus grande fuite de pétrole de l’histoire. Pour tenter de limiter l’impact environnemental de la catastrophe, les autorités et le pétrolier BP décident de déverser un dispersant bien connu, le Corexit, aux abords du site. Le produit doit empêcher le pétrole de s’agglomérer en plaques afin qu’il soit plus facilement dégradé par les micro-organismes, afin de limiter les dégâts sur le littoral. Les quantités de produit chimique déversées dans la mer sont sans précédent: en tout, 7 millions de litres ont été pulvérisés dans le golfe du Mexique.

Retour de flammes

La...

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