Malgré les turbulences des derniers mètres, le pilote de l'Airbus d'Alitalia transportant hier matin Benoît XVI vers son pays natal a réussi un atterrissage en douceur sur le sol de Berlin. Et le pape, désormais seul vrai pilote de son troisième voyage en Allemagne - préparé avec un soin méticuleux par ses équipes et par lui-même -, a, semble-t-il, tenté la même opération, réussir son arrivée. En sachant qu'il se posait sur un terrain hostile.
Dans l'avion, face aux journalistes, il avait d'ailleurs dessiné sa stratégie: chercher la conciliation. Au revers de la confrontation annoncée. D...