Le sommet du G-8 s'est ouvert hier dans le cadre spartiate d'une caserne de L'Aquila, au coeur de la région italienne des Abruzzes touchée par un violent séisme en avril. Les «grands» de la planète vont traiter de l'économie internationale, du climat et de l'Iran durant trois jours.
La plupart des chefs d'Etat et de gouvernement des huit pays les plus riches de la planète sont arrivés en retard à la réunion de L'Aquila, une cité médiévale de 73 000 habitants.
Crise oblige, l'économie internationale figure en tête des sujets abordés à L'Aquila. Selon un projet de déclaration finale cité par l'AFP, les Huit font preuve d'un optimisme mesuré. Le G-8 a toutefois perdu les commandes de ce dossier au profit du G-20, qui inclut les pays émergents. Le sommet de L'Aquila est perçu comme une étape avant un sommet du G-20 à Pittsburgh (USA) fin septembre.