Sous un grand ciel bleu, la ville de New York s'est réveillée groggy hier après le passage d'une grosse tempête que médias et politiciens avaient présentée comme l'ouragan du siècle. Avec leurs placards remplis de provisions inutiles, les fenêtres de leur gratte-ciel en parfait état, mais des transports en commun très perturbés et la pagaille dans les aéroports, certains New-Yorkais se demandent si la psychose n'est pas allée un peu trop loin.
Si la côte Est des États-Unis reste toujours très affectée par le passage d'Irene avec encore au moins 5millions de foyers et commerces sans électricit...
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Après la psychose, les critiques
Epargnés par l'ouragan Irène, les New-Yorkais s'interrogent.
