journaliste
L'erreur à ne pas commettre: se lancer tête baissée dans le métro de Moscou. L'alphabet cyrillique vous y fera perdre votre latin. Inutile de demander une quelconque aide à l'un des policiers qui semblent veiller - ou sommeiller plutôt - au pied de chaque colonne monumentale ou d'essayer d'obtenir un renseignement auprès d'un Moscovite âgé de 50 ans ou plus: restés figés dans l'ère Brejnev, ceux-ci ne vous répondront pas, ou alors grommelleront quelque vague explication, en russe bien évidemment, ce qui vous avancera bien.
Tentez votre chance auprès de la jeune génération: plutôt ...