«Non, pas elle!» s’exclame-t-il. Elle, c’est Jacqueline Lavanchy, la candidate Graines de futur au Conseil des Etats. Celle qui veut interdire les combats de reines. Lui, c’est Stéphane Rudaz, président des Amis des reines et de la Fleur d’Hérens.
Et ça ne s’invente pas, c’est sur cette candidate qu’il est tombé en remplissant son Smartovte. Bon à 58% seulement. «Mais s’il y en a bien une que je ne voulais pas, c’est elle.»
Heureusement, c’est l’unique «anomalie» de son résultat Smartvote. Car pour le Conseil national, s’il y a bien une jeune jaune au sommet de son podium, les autres noms collent davantage au bulletin de vote que ce libéral-radical pur et dur a déjà rempli.
«Je ne retrouve pas mon ami Philippe Nantermod que j’ai mis sur ma liste, mais il y a Florian Piasenta en troisième position et lui aussi je l’ai voté», confie celui qui fut président de la section PLR du district d’Hérens et qui n’est pas peu fier de compter cinq PLR sur les huit premiers noms qui s’affichent dans ses recommandations de vote au National.
«L’outil est bon. Même si je n’en ai personnellement pas besoin. Je vote toujours le lendemain du jour où l’on reçoit le matériel.»
Petite déception pour Stéphane Rudaz cette année: ne pas avoir pu inscrire le nom de Yannick Buttet sur sa liste, la seule exception hors PLR à laquelle il aurait pu consentir. Pas cette année, mais peut-être une autre, qui sait?…