Ala caisse du supermarché, c’est une scène de moins en moins rare. Au moment de régler ses achats, le client sort son téléphone. Non pas pour appeler à l’aide, mais pour payer. Quelques menues opérations, pas plus longues que celles nécessaires pour un paiement par carte ou en liquide, avec le sourire complice de la caissière, et les courses sont emballées.
Après être devenu notre principal outil de communication, puis notre appareil photo, notre salle de cinéma et notre centrale d’information, notre téléphone mobile devient aussi notre porte-monnaie et notre banque. Alors que les paiements par internet sont entrés dans les habitudes depuis quelques années, celui du micropaiement et du microvirement est désormais bien là.
Un sondage réalisé auprès d’un millier de personnes de tout le pays, en janvier dernier, par le site de comparaisons Comparis, confirme l’engouement croissant des Suisses pour l’emploi de leur smartphone au moment de...