WASHINGTON ROB LEVER
BlackBerry, un temps icône des nouvelles technologies, a perdu en quelques années à peine son aura de pionnier des smartphones. Le groupe canadien n'a pas pu suivre le rythme des innovations de ses rivaux sur un marché ultra-concurrentiel.
Lundi, trois jours après avoir annoncé la suppression de 40% de ses effectifs, Blackberry a indiqué qu'il allait être racheté par un consortium d'investisseurs mené par le fonds Fairfax, son premier actionnaire, pour 4,7 milliards de dollars. Le même jour, comme un symbole, Apple revendiquait des ventes record pour son nouvel iPhone.
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