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«Les voyageurs d’affaires sont venus naturellement à nous»

18 mai 2016, 23:25
/ Màj. le 19 mai 2016 à 00:01
epa02798507 An airplane from the British airline Easyjet rolls down the runway at Berlin-Schoenefeld Airport in Schoenefeld, near Berlin, Germany, 27 June 2011. The German Verdi trade union has polled 240 flight attendants as well as 110 pilots of the company and the ballots will be counted 27 June 2011, at 2:00 pm. There will be an unlimited strike if 75 per cent of the polled Easyjet workers decide to strike, which in turn could lead to flight cancellations and delays in Germany at the beginning of the holiday season.  EPA/HANNIBAL HANSCHKE GERMANY ECONOMY EASYJET

Rachel Richterich

L’atterrissage est rude pour EasyJet. La compagnie qui affichait des bénéfices annuels records a plongé dans le rouge au premier semestre de son exercice décalé 2015-2016 (lire ci-dessous). Pourtant, elle reste confiante et voit même des opportunités de croissance en Suisse. Sa stratégie pour prendre encore des parts de marché aux compagnies historiques? Draguer la clientèle affaires. Explications de Silvia Herrero, directrice marketing d’EasyJet, qui nous reçoit dans les sobres bureaux genevois de la compagnie, deuxième base derrière Londres.

Vous affirmez vouloir croître encore à Genève et Bâle, où vous possédez des parts de marché de 43,3%, respectivement 54,5%. C’est un avion sur deux, qui décolle ou atterrit sur ces plateformes. Vous visez le monopole?

Non, nous ne visons pas le monopole. Mais selon notre devise, nous voulons être numéro un ou numéro deux dans les aéroports principaux dans lesquels nous sommes présents. Genève et Bâle en font...

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