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Les Italiens tannent Bruxelles

L’ONG suisse Public Eye dénonce des pressions sur une enquête concernant les ouvriers des tanneries.

20 avr. 2017, 21:31
/ Màj. le 21 avr. 2017 à 00:01
Das Gerben des Leders findet in vielen einzelnen Schritten statt, nach dem eigentlichen Gerben wird das Leder gefärbt, weiterbearbeitet etc., viele der Familienunternehmen sind auf einzelne Schritte spezialisiert, wie z.B. halbieren des gegerbten Leders, färben des Leders, verdünnen von Wet Blue-Leder etc (Tanning 1 bis 4). 

Das Rohleder erreicht die Gerberei auf Paletten, mit Haaren und Mist noch dran (Tanning, 5, 6, 7, 9, 10, 20, 21). Das Leder kommt dann in den ersten Bottale, wo es mit Natriumhydrogensulfid (Tanning 24) oder anderen Chemikalien behandelt wird, wodurch sich die Haare zersetzen (Tanning 11, 12, 13, 14). Das Gerben erfordert den Einsatz von sehr viel Chemie (Tanning 8, 15-18), unter anderem Chrom, hier Made ein Turkey (Tanning 22).

En acceptant de financer «Change your shoes», un vaste projet d’enquêtes mené par une coalition d’ONG sur les filières mondiales du cuir et de la chaussure, elle ne s’attendait pas à une telle affaire. Elle, c’est la direction générale de la collaboration internationale et du développement de la Commission européenne (DG Devco) installée à Bruxelles. A la suite de révélations sur les conditions de travail en Italie, elle a dû faire face au courroux de l’Unic, l’organisation faîtière des tanneries de la Péninsule. C’est ce que révèle l’ONG suisse Public Eye.

Tout commence en Toscane l’une des trois plus grandes régions dévolues à l’art de la tannerie en Italie. Avec son équipe, Francesco Gesualdi (67 ans), engagé à la tête du Centro Nuovo Modello di Sviluppo, se rend dans les ateliers et usines de Santa Croce sull’Arno, une petite ville située entre Pise et Florence, pour récolter des témoignages.

Le...

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