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Le tarmac de Cointrin, son business et ses affaires

Portique de sécurité séparé, salons feutrés, nous avons pu glisser un œil au terminal des jets privés, à Genève.

03 oct. 2016, 23:35
/ Màj. le 04 oct. 2016 à 00:01
Aviation d'affaire

Maintenance d'avion

Photo Lib/Alain Wicht Genève,le 18.8.2016

Ne pas photographier les installations de douane ni de sûreté. Ne pas photographier le personnel en uniforme. Ne pas utiliser le flash en direction d’un cockpit. Une douzaine de conditions au total, pour obtenir la précieuse autorisation de Genève Aéroport. Accordée! Nous visiterons son terminal réservé à l’aviation d’affaires, le T3. C’est que la ville du bout du lac abrite la deuxième plateforme de jets privés en Europe, derrière Le Bourget, à Paris, structure incontournable pour l’importante concentration de multinationales et de l’intense activité diplomatique dans la région.

Départ pour Cointrin, Jet Aviation assure la visite, l’un des quatre opérateurs de base aéroportuaires (FBO) dédiés au secteur, avec Tag Aviation, PrivatAir et Ruag. Une fois les cartes d’identité déposées à l’accueil, Carine Jegat, chargée des relations clientèle pour Jet Aviation, démarre la visite dans les salons feutrés réservés aux clients. «Ils n’y passent que peu de temps, l’avion est prêt...

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