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Le casse-tête de l’argent des potentats

Gérer les avoirs gelés de régimes corrompus exige de nouveaux mécanismes légaux, selon l’ONG Public Eye.

24 oct. 2017, 23:33
/ Màj. le 25 oct. 2017 à 00:01
ARCHIV --- ZUM MILLIARDENUEBERSCHUSS BEIM BUND FUER 2012 STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILD ZUR VERFUEGUNG --- Bundles of bank notes of 1000 Swiss Francs at the bank vault of the "Zuercher Kantonalbank" bank, pictured on August 9, 2011 in Zurich, Switzerland. (KEYSTONE/Martin Ruetschi) *** NO SALES, NO ARCHIVES *** SCHWEIZ BUND MILLIARDENUEBERSCHUSS

Le 11 février 2011, le Conseil fédéral gèle 700 millions de francs placés en Suisse par le clan du président égyptien déchu, Hosni Moubarak. En décembre 2016, les autorités helvétiques débloquent environ le quart de la somme. Puis, coup de théâtre: l’ambassade de Suisse au Caire annonce, en août dernier, la fin de l’entraide judiciaire avec l’Egypte sur cette question.

Jusqu’à présent, peu d’informations ont filtré. A l’occasion d’un rapport à paraître, Olivier Longchamp, responsable des questions financières et fiscales à l’organisation non gouvernementale Public Eye, explique les enjeux de cette affaire qui va au-delà du cas égyptien.

Après la décision de la Suisse de mettre fin à l’entraide judiciaire avec l’Egypte, que vont devenir les avoirs gelés du clan Moubarak?

C’est difficile à dire. A ma connaissance, ces fonds sont toujours gelés, hormis les 180 millions débloqués en décembre 2016, dont nous ne savons pas ce qu’il est...

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