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L'horlogerie japonaise peine à suivre le mouvement suisse

Concurrents des producteurs helvétiques, les Nippons ne se sont pas adaptés à l'environnement changeant. Tendance à un déclin profond.

10 juil. 2014, 00:01
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Concurrent important de l'horlogerie suisse, le Japon figure aussi au rang des gros clients des manufactures helvétiques. Le pays du Soleil Levant, évocateur des difficultés du secteur en Suisse il y a 40 ans, représente même depuis le début de l'année le troisième débouché des fabricants de montres "Swiss made".

L'an passé, les exportations horlogères suisses au Japon se sont hissées à 1,15 milliard de francs, en hausse de 5,7% au regard des 1,09 milliard affichés en 2012. L'archipel extrême-oriental a représenté le septième débouché pour les horlogers helvétiques, derrière Hong Kong, les Etats-Unis, la Chine, l'Allemagne, l'Italie et la France.

Les envois de garde-temps suisses ont ainsi représenté 18,7% des livraisons de l'industrie helvétique au Japon, derrière celles de produits pharmaceutiques, avec une part au total de 36,7%. L'ensemble des envois a atteint la valeur de 6,16 milliards de francs l'an dernier.

Et, cette année, tous les feux restent...

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