Mea culpa, mea maxima culpa. Mis sur le gril par les députés européens, hier soir, le fondateur et directeur exécutif de Facebook, Mark Zuckerberg, a une fois de plus confessé ses torts, dans le scandale de Cambridge Analytica, la société de consultants qui a abusivement exploité à des fins politiques les données personnelles de 87 millions d’utilisateurs du plus important réseau social du monde, dont quelque 2,7 millions d’Européens.
«Qu’il s’agisse de fausses nouvelles (fake news), de terrorisme, d’interférences étrangères dans des élections ou de développeurs utilisant à...