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Comment comprendre le non du Haut-Valais à la norme contre l'homophobie

En 2005, une partie du Haut-Valais acceptait le partenariat enregistré, alors que tout le Valais romand disait non. Qu'est-ce qui a changé en quinze ans? L'explication semble plurielle.

10 févr. 2020, 05:30
Le Haut-Valais se montrait plus favorable à la cause homosexuelle en 2005. (Illustration)

La responsable de Queer Wallis est trop fâchée pour analyser le non à 50,5% du Haut-Valais à la lex Reynard. Tandis que le Valais romand a dit oui à 67%. Elle renvoie à Francesco Walter. Le député PDC noir haut-valaisan a longtemps fait partie de cette association. «Je l’avais quittée en pensant qu’il n’y avait plus besoin de structure pour nous soutenir. Le vote d’aujourd’hui montre que je me suis trompé.»

A lire aussi: Le Haut-Valais dit non à la lex Reynard contre l’homophobie (9 février 2019)

Le politicien explique notamment ce Raspillegraben par le poids plus important de l’Eglise dans la partie germanophone du canton. Au Grand Conseil, il perçoit une différence entre le Haut et le Valais romand. «C’est plus simple de parler de cette thématique avec les francophones.»

Chargé de communication d’Alpagai et député socialiste, Sébastien Nendaz n’a, lui, pas l’impression que la situation des homosexuels est...

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